En commençant sa conférence Lotusphere 2011 par un show à l’américaine, IBM montre clairement qu’il souhaite changer son image de gros buldosère pour ingénieurs.
IBM se lance dans le Social Business et compte le faire savoir.
La plénière commence par une intervention très intéressante de André-Yves Portnoff :
Ce dernier montre, par l’exemple de l’effet papillon, que c’est l’organisation qui conduit la valeur et qu’un potentiel individuel faible peut se révéler exceptionnel quand il est bien géré. Il faut gérer le changement, créer plus de valeurs par synergie et jouer le ‘comment’ plutôt que le ‘combien’.
Les nouvelles technologies et l’hyperconnexion ont changé la conception du travail et le management doit s’adapter : imposer et ordonner n’est plus d’actualité il est important de manager par la confiance et laisser ses collabrateurs s’exprimer.
Le triste constat aujourd’hui est que plus de 60% des collaborateurs ne recommanderaient pas le produit que fabrique leur société auprès de leurs proches.
A-Y portnoff conclut en montrant que les nouvelles générations vouent le culte du ‘Nous’ plutôt que du ‘Moi’. Le libre arbitre est aussi la valeur principale des nouvelles générations. Les entreprises devront trouver du soutient auprès de la direction, montrer des exemples concrets sur le terrain et publier des indicateurs de performances.
Et IBM dans tout ça ? Fort de constater qu’il s’est vendu plus de smartphone que de PC lors du dernier trimestre 2010 et que 95% des entreprises souhaitent investir dans la communication avec leurs clients, IBM fait parler ses clients et axe son action via Lotus Connections sur :
– les RSE
– le cloud
– le social business en améliorant la récupération des données via les RSE (10^21 bytes) et l’analyse des flux.
– la mobilité
Merci pour ce billet ! Si ça vous intéresse, les présentations de l’événement seront bientôt disponibles sur notre site et sur nos blogs !